L’ORAGE

là bas un destin bascule

là bas quelque part ,deux personnages en rencontrent un troisième et tout bascule

Un jour, Albert Einstein, demande à S. Freud, ce qu’il convient de faire, face à la barbarie; S.Freud, qui n’était pas très célèbre pour son optimisme, lui répondit :

“se laisser tomber au fond du gouffre et voir ce qui en ressort..”

Au fond du gouffre, il y a, peut-être, des mots, dans le vent….

L’orage…

Il y avait le bleu à perte de vue
Les nuages que déformaient le vent
Le cri des mouettes, l’océan
toi qui riait
Trois mouettes perchées sur un arbre à la dérive
soldats au garde à vous, file file le temps
j’ai perdu ton rire dans le vent
Le ciel change le bleu en encre noire
Les mouettes éclatent de rire
Les rives océanes se fâchent
La mer moutonnent, les oiseaux sont partis
L’été a disparu avalé dans l’orage
Tu m’as souri
Le ciel d’été mauve accorde ses larmes de pluie
Sur La plage déserte
L’été finit au mois d’aout

SARAHLOUP

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2 Commentaires

  • Reply
    franckcambon
    18 janvier 2016 at 8 h 51 min

    on ne peut qu’aimer la mer et les mouettes et les…rires aussi.

  • Reply
    Beauvieux
    18 janvier 2016 at 11 h 30 min

    Heureuse de retrouver ta poésie même par temps d’orage où les nuages s’effilochent mais où les mouettes rient.

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