Tu pars et mon coeur en lambeaux te regarde
Les morceaux de moi gisent épars sur le quai devant le train
Tu pars, le vide a remplacé la neige et le blanc de mon coeur a envahi la ville
Tu pars, les oiseaux se sont tus, perdure le vent dans tes cheveux, les papiers sur le quai , presque rien
Toi et moi, le vent, le train s’ébranle et nous quitte
Le train qui hurle dans la nuit, disparait
Tu es partie .
SarahLoup
1 Commentaire
jean pierre Louis steiner
9 mai 2019 at 19 h 23 minpartir… ‘est aussi revenir autrement