Sa voix dans le silence sonne des frissons,
il s’agenouille pour chanter et c’est un miracle à chaque fois.
Une voix d’ alcôve, comme on murmure, une prière, un envoûtement, une étincelle dans la nuit.
A chaque disque, éternel.
Fidèle à lui même, à son public, à moi, à nous. Une étincelle ne devrait jamais mourir !
Cette voix, cette poésie, ce spleen, inclassable, ailleurs toujours et à jamais.
Quels textes, quelle poésie, ...Leonard !
Je l’ai pensé immortel, atemporel, éternel, la mort allait l’oublier, le laisser vivre pour rêver tant d’amour !
Il a eu l’extrème délicatesse de disparaitre avant de voir l’Amérique se parjurer…
Suzanne, So long Marianne, Hallelujah..
Léonard Cohen always..
SARAHLOUP